Guy Adain - La morosité républicaine n’est pas une fatalité pour nous
J’ai observé nos « Politiques » en campagne, j’ai regardé, écouté leurs promesses et senti leur désir profond d’arriver en haut du Mât de Cocagne, où terrorisé et tremblant se tient notre coq gaulois. Pauvre coq, il sait bien ce qui l’attend si jamais les « Politiques » le capturent, il sera transformé en « Poule au pot » et ne régalera certainement pas les « Bons Peuples de France ». Je sais, j’ai compris ce qu’il manquait à nos « Politiques », ils ont des recettes, des trucs de magiciens, des martingales de joueur de poker, mais il leur manque, l’Amour, il leur manque la Grâce et le désintéressement. Alors, j’ai accroché le portrait de mon Prince dans le salon et je suis allé me promener sifflotant, avec le même sourire…
J’ai flâné, badé, le nez au vent, et j’ai regardé et humé la France. Elle n’est pas si laide si l’on veut bien y regarder…Les tristes, les défaitistes, les anxieux, les envieux veulent nous entraîner dans leur vision pessimiste, voire même apocalyptique de notre pays, qui disent-ils, ne ressemble plus à rien ! Mais la France est là, sous nos pieds, et les lys ne demandent qu’à pousser. Regardons le royaume, soyons en les sujets…Les gueux qui nous gouvernent pour l’heure ne font pas illusion ! Le Peuple les tolère car il est « Bon Prince », c’est dans nos gènes que d’être royalistes… Ils ont tort sur tout, et nous le savons bien, mais c’est notre force de ne pas les prendre au sérieux, gouaille bien française !
Sans doute allons-nous les changer l’an prochain, ils le savent bien sûr et se dépêchent de remplir leurs cartons sous nos sourires goguenards… Oui, la France est forte, la France est belle, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle a tant d’ennemis et de détracteurs, mais la France dans ses pires moments trouve toujours la force de rejaillir…Notre histoire en témoigne. Alors, « tremblez ennemis de la France » quand elle nous appellera de façon plus pressante, nous serons invincibles et nous saurons vivre et mourir pour elle s’il le faut ! Sans doute le temps n’est pas encore venu, nous n’avons peur de rien, comme un gamin de Paris, nous fredonnons la chansonnette de Gavroche, « je suis tombé par terre c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau. » Ni les politiques du pire, et encore moins ceux qui voudraient nous terroriser n’entamerons notre belle humeur. Le sourire de notre Prince nous sert d’étendard sacré.
Guy Adain
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J'ai observé nos " Politiques " en campagne, j'ai regardé, écouté leurs promesses et senti leur désir profond d'arriver en haut du Mât de Cocagne, où terrorisé et tremblant se tient notre coq gaulois. Pauvre coq, il sait bien ce qui l'attend si jamais les " Politiques " le capturent, il sera transformé en " ...
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