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Ma Petite Voix m'a dit
AVE VERUM CORPUS


FRISE-FLEURS
« Avoir la foi, c'est signer une feuille blanche et permettre à Dieu d'y écrire ce qu'il veut. »  Saint Augustin

Chapelle de Wohlfartshoffen

Ton Silence, ma petite chapelle bien-aimée, s'est gravé dans mon âme.

 

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À ma France, il faut son Roi.

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France, Fille Aînée de l'Église, retrouve ta Mémoire, sinon tu périras !

FRISE-FLEURS

SOS FRANCE EN DANGER

  "je sçay bien que les Anglois me feront mourir, croyant qu'après ma mort ils gagneront sur le royaume de France ; mais quand même ils seraient cent mille godons de plus qu'ils ne sont présentement, ils n'auraient pas ce royaume". Ste Jeanne d'Arc



FRISE-FLEURS

Christus Vincit, Christus Regnat, Christus Imperat

FRISE-FLEURS

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« Tout n’est pas fini dans le siècle que nous traversons : On voudrait détruire la Sainte Église et la France Catholique.

Quand on connaitra les secrets des âmes, secrets en ce moment cachés, on verra que c’est par vous, ô Marie, que la France aura été sauvée. »

 Berguille

In hoc

frise Lys

Hommage au Silence - Ode à mon Ange Gardien

 

FRISE-FLEURS                                                                                   

Archange Rouleau

 

 Qu’il est doux se promener avec toi,

 les matins roux, le long des bois,

 çà et là surprendre des fleurs en robes des champs,

 ci et là s'incliner pour inlassablement laisser

 nos mains caresser

 les mousses épaisses

 des chemins insoucieux.

 ***+***
Unis pour l'éternité dans le Silence

et

la Joie infinie de la Liberté en Dieu.

 

L'envers du décors ---S

 

FRISE-FLEURS

France pays multiculturel

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FRISE-FLEURS                                                                                                    

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Jeanneliberatrice

17 mars 2017

Jean-Philippe Chauvin - La Monarchie au-dessus des partis -

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Les actuelles joutes présidentielles nous démontrent à l’envi toute la dangerosité mais aussi le ridicule de cette course au Pouvoir de quelques ambitions personnelles et partisanes qui oublient les réalités pour s’attacher les votes des électeurs, du moins durant les jours de scrutin. Les promesses ne font pas un programme et les programmes ne tiennent pas leurs promesses, et les citoyens l’ont compris qui, pour beaucoup, désespèrent de voir des solutions concrètes et crédibles sortir des urnes printanières. La Nouvelle enquête sur la Monarchie est aussi l’occasion de rappeler qu’il existe, au-delà de la République et de ses différentes formes, un « autre régime » que l’on peut, au regard de l’histoire et de la contemporanéité républicaines qualifier de « nouveau », hors et au-dessus des partis et de leur système…

 

La transmission héréditaire de la magistrature suprême de l’État est le meilleur moyen de l’indépendance royale, même si elle ne garantit pas forcément que le souverain soit totalement libre de toute influence. Ce qui est certain, en tout cas, c’est que l’hérédité libère l’État et que la Monarchie n’est pas, ne peut pas et ne doit pas être un parti, même royaliste, ce que le comte de Paris et son père, le duc de Guise, n’ont cessé de répéter en leurs temps respectifs, parfois aux dépens de l’Action Française qui, néanmoins et heureusement, restera toujours fidèle à la Maison de France.

 

Cela signifie-t-il que la Monarchie ne s’engage pas, et qu’elle reste politiquement neutre ? Dans la conception française de la Monarchie active, elle n’est pas un simple ornement institutionnel, et elle joue un rôle arbitral qui n’est pas, au contraire de la République encore mâtinée de jacobinisme (parfois très conscient et revendiqué, comme l’a prouvé le redécoupage des régions à la sauce « hollandaise » de ce quinquennat-là, qui n’a tenu aucun compte ni des réalités historiques ni des légitimes doléances régionalistes), un pouvoir arbitraire. Arbitrer n’est d’ailleurs possible que si les règles sont connues et l’arbitre reconnu : l’indépendance de nature de la magistrature suprême de l’État en Monarchie permet l’arbitrage dans de bonnes conditions, mais, dans le cadre de la Monarchie fédérative, les décisions royales ne sont pas aussi nombreuses que dans une République (plus « parisianiste » que française), ce qui au passage leur accorde aussi et ainsi plus de force et de crédibilité. Comme le disait un vieux sportif royaliste, « le roi laisse jouer » et il n’intervient que lorsque, faute de pouvoir dénouer une situation compliquée, l’on fait appel à lui. Au risque de surprendre, mais en reprenant une intuition de l’avocat monarchiste Jean-Marc Varaut, je dirai que la Monarchie joue, d’une manière certaine, le rôle de l’actuel Conseil constitutionnel ! Rien de moins, et sans doute un peu plus…

 

Car, contrairement au Conseil constitutionnel, le roi n’est pas nommé par des personnalités institutionnelles et partisanes, ni en fonction de choix politiques : là encore, sa naissance le préserve de ce choix fait par d’autres que le « hasard contrôlé » inhérent à la Monarchie héréditaire et successible. De plus, le roi est le symbole visible, l’incarnation de la nation plurielle sans parti-pris, le double trait d’union, temporel entre le passé et le présent, et politique entre les toutes les composantes constituées de la France : il n’est pas l’homme d’un parti ou d’une partie contre l’autre, il est au-dessus des partis et des parties, et sa force est de ne jamais dépendre d’eux puisqu’il ne leur doit rien, et sûrement pas sa légitimité, de nature et d’origine « extra-démocratique », ce qui lui permet de garantir le libre exercice par chacun de ses droits, libertés et pouvoirs, sans interférer sur ceux-ci. Le roi est l’autorité « au-dessus » qui permet les libertés à tous les niveaux de la nation ; il est le sommet de la pyramide des pouvoirs et la condition de la nécessaire subsidiarité qui fait vivre, à tous les degrés de l’échelle, les pouvoirs concrets. La Tour du Pin résumait cela en expliquant qu’il fallait remettre la Monarchie dans l’État et la Démocratie dans les provinces, les communes et tous les autres corps intermédiaires : c’est, encore et toujours, le sens même du combat royaliste, un combat qui ne cherche pas la victoire d’un parti royaliste mais l’établissement d’une Monarchie sans parti-pris, pour servir le pays et non « se servir ». L’actuelle présidentielle, avec son lot de promesses et de scandales, semble bien loin d’une telle perspective : elle est, aujourd’hui, le meilleur argument a contrario de la Monarchie et il serait bien dommage de ne pas le faire savoir à nos concitoyens… (photo: La Couronne)

 

Jean-Philippe Chauvin

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SOURCE :

 

La Monarchie au-dessus des partis - Le blog de La Couronne

Les actuelles joutes présidentielles nous démontrent à l'envi toute la dangerosité mais aussi le ridicule de cette course au Pouvoir de quelques ambitions personnelles et partisanes qui oublient les réalités pour s'attacher les votes des électeurs, du moins durant les jours de scrutin. Les promesses ne font pas un programme et les programmes ne tiennent ...

http://www.la-couronne.org

 

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