Magnifique Témoignage de Mgr le Comte de Paris : Miracle à Fatima le 13 mai 1943
(photo blog de la Couronne)
En ce temps la Famille de France et moi-même étions en exil au Portugal.
Ce 13 Mai, jour anniversaire de la première manifestation de la Vierge Marie, jour de terreur pour tous les nombreux spectateurs qui virent le soleil danser puis tomber sur terre, donc vingt six ans plus tard j’avais dix ans. Ma mère avait loué un minibus qu’elle conduisait et où s’entassaient sa famille déjà nombreuse, à laquelle s’ajoutait une famille de nos amis aussi nombreuse que nous.
La veille au matin, le 12 Mai, ma mère conduisait par des routes défoncées et tortueuses,trop souvent étroites, comme si ce fut un rallye automobile. Bref nous sommes arrivés à la « Cova Da Iria » à Fatima, sans avoir écrasé de pèlerins, ni versé dans le fossé. Nous, les enfants, savions avoir été protégés par nos Anges Gardiens et peut-être par la Vierge.
A cette époque, il n’existait sur cette cuvette que des cailloux, une source et l’olivier sur lequel apparu la Sainte Vierge aux trois bergers… et un seul Hôpital et une maison pour le clergé. Les pèlerins comme nous dormaient à la belle étoile avec leur couverture. A l’aube, un morceau de pain et un bol de café chaud, puis chacun reçu ses consignes ainsi qu’un broc et une tasse en aluminium pour étancher la soif des malades et infirmes dont il avait la charge. Chacun était responsable d’une rangée de malades. Et ce jour là la chaleur était étouffante sous les toiles tendues au dessus de cette cuvette débordante de malades.
Je fis la connaissance de mes malades, de vieilles personnes perdues de souffrances,quasiment tous accompagnés d’un proche se tenant près de leur tête. Le soleil dardait ses rayons sans un souffle d’air, j’étais donc très sollicité, « agua, faïch favor » de l’eau s’il vous plaît. Durant le Saint Office, le calme régnait, mais lorsque la Sainte Hostie dans l’Ostensoir porté par l’Evêque du lieu et suivi par toute sa cohorte arriverait, ce serait autre chose, car l’officiant inclinerait l’Ostensoir vers le malade pour qu’il l’embrassa ou le touche.
Or dans ma rangée, étendue sur un brancard une jeune fille d’environ 13 ans. Je l’ai gravée dans l’oeil de mon coeur. Elle était vêtue d’une courte jupe grise qui dissimulait ses jambes rabougries et tout son corps était recroquevillé telle une petite araignée terrorisée, avec ses cheveux noirs, coupés à la Jeanne d’Arc et sa blouse blanche, elle me touchait par la peur que je devinais dans ses yeux noirs. J’étais donc en train de porter à ses lèvres la tasse en aluminium lorsque je vois l’Ostensoir arriver. je me retire auprès de sa mère. L’Ostensoir s’abaisse et elle ferme les yeux puis l’embrasse. Son visage est devenu une prière muette…
L’Ostensoir poursuit sa course. Je quitte la ruelle, la mère pousse un cri, je me retourne. La jeune fille est debout. J’en suis heureux pour elle. Mais ce qui m’impressionne et me laisse pantois c’est qu’en prenant la forme d’une enfant de treize ans, son corps est plus grand que sa jupe. Mais la Sainte Vierge semblait savoir qu’à cette époque, la minijupe aurait fait scandale, Elle a donc rallongé la jupe à la bonne hauteur.
Pour moi je compris que le vrai miracle d’Amour c’est aussi cela. He! Oui! La Haut Ils pensent à tout… Je n’ai jamais oublié le sourire lumineux de cette jeune fille adressé à La Vierge Marie. En ce 13 Mai 2017 J’en suis encore bouleversé.
Henri Comte de Paris
Source :
Un jour une partie de la réalité nous fut dévoilée à la Princesse et à moi-même. Ce fut à Paris à la suite d'un dîner chez un ami dont le voyage en Afrique était prévu pour le lendemain. L'un des convives de cette soirée supplia notre hôte de renoncer à ce déplacement.
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Nous voulons Dieu, Vierge Marie
Prête l'oreille à nos accents
Nous t'implorons, Mère chérie
Viens au secours de tes enfants.
Bénis, ô tendre Mère
Ce cri de notre foi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, pour que l'Église
Puisse enseigner la Vérité
Bannir l'erreur qui nous divise
Prêcher à tous la charité.
Bénis, ô tendre Mère
Ce cri de notre foi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu dans la famille,
Dans l'âme de nos chers enfants ;
Pour que la foi s'accroisse et brille
A nos foyers reconnaissants.
Bénis, ô tendre Mère
Ce cri de notre foi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu dans nos écoles,
Pour qu'on enseigne à tous nos fils.
Sa loi divine et ses paroles.
Sous le regard du crucifix
Bénis, ô tendre Mère
Ce cri de notre foi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu! Notre patrie
Doit le placer au premier rang;
Comme autrefois la France prie:
C'est par sa foi qu'un peuple est grand.
Bénis, ô tendre Mère
Ce cri de notre foi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi
Nous voulons Dieu, c'est notre Père
Nous voulons Dieu, c'est notre Roi